Parfois, quand l’OFII, dont c’est le boulot, ne fournit pas d’hébergement en structures ad hoc (CADA, PRAHDA, HUDA, AT-SA), il arrive que la Direction de la Cohésion Sociale mette des gens à l’abri en hôtel.

C’est, à notre avis, une solution onéreuse pour la collectivité et peu satisfaisante pour les personnes concernées (essayez de vivre, de vous nourrir, de travailler … dans une chambre d’hôtel de 7m2 !)

Pourtant, depuis quelques mois, les personnes ainsi hébergées voient la «part hébergement» de leur ADA (162 euros) supprimée au  motif de cette mise à l’abri.

On trouvait déjà ça pas cool et bien on vient d’apprendre pire : une fois supprimée, cette part hébergement ne peut pas être rétablie, même si les personnes ne sont plus en hôtel. «L’informatique ne le permet pas».